Le pastoralisme français : quel avenir à l’horizon 2035 ?

Le pastoralisme français, aujourd’hui encore bien présent et soutenu économiquement, fait face à divers défis.

Parmi ceux-ci :

  • la baisse de la consommation de viande,
  • les impacts du changement climatique sur les ressources en herbe,
  • la concurrence pour l’usage du foncier,
  • l’attractivité déclinante du métier de berger,
  • les incertitudes sur l’avenir de la PAC,
  • la prédation par le loup sur les troupeaux…

Dans ce contexte, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation a commandé une étude prospective sur l’avenir du pastoralisme français d’ici 2035. Cette note en présente les principaux enseignements.

Pour en savoir plus : Le pastoralisme français à l’horizon 2035 – Analyse n°159

Source : Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation

Pastoralisme : une contribution sous-estimée aux économies nationales

Alors que 200 millions d’éleveurs et leurs familles vivent du pastoralisme dans le monde, cette activité agricole reste peu connue. Pourtant la participation de l’élevage pastoral aux PIB nationaux est loin d’être négligeable, d’autant que le pastoralisme fournit bien des services. Une étude confiée au Cirad par la FAO et financée par le FIDA vient combler ces lacunes en Argentine, au Tchad et en Mongolie. Elle pointe la nécessité de mettre en place un observatoire socio-économique et environnemental du pastoralisme. Source : CIRAD

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