COP16, entre montée de la dégradation des terres et érosion de la biodiversité

Avec la clôture de la 16e Conférence des parties (COP) de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD) le 13 décembre dernier à Riyadh en Arabie Saoudite, la 29e COP de la Convention cadre sur les changements climatiques (CCNUCC) et la 16e COP de la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) tenue fin octobre à Cali (Colombie), deux ans après l’adoption de l’accord historique de Kunming-Montréal, 2024 aura été une année riche en négociations internationales. Parmi les thèmes abordés à Riyadh : la gestion durable des terres, la restauration des sols, la gouvernance des territoires et la défense du pastoralisme. À noter que 2026, année de la COP17 qui se tiendra en Mongolie, sera l’année internationale du pastoralisme et des pâturages. Sinon, que retenir de la COP16 de la CDB hormis des divergences notables entre pays du Nord et du Sud ? Quels défis se profilent pour la suite, notamment pour la COP17 de la CDB prévue en Arménie en octobre 2026 ? La Fondation pour la Biodiversité et l’Iddri livrent quelques réponses.

Pour en savoir plus :

COP16 désertification : agroécologie et pastoralisme pour lutter contre la dégradation des terres

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Sources : Cirad, Iddri, Fondation pour la Biodiversité

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